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Le premier président de Facebook, Sean Parker, a déclaré que l’application utilisée par plus de deux milliards de personnes dans le monde entier tire parti de la psychologie humaine et du besoin de validation sociale, et est peut-être en train de recâbler le cerveau humain.

 Le processus de réflexion qui a mené à la création de ces applications, Facebook étant le premier d’entre eux,… était défini par cette question : « Comment pouvons-nous capter votre attention et vous garder le plus longtemps possible sur nos services ? »

Le milliardaire a également révélé que l’entreprise a procédé à une exploitation de l’esprit humain malgré les signes que le site Web a modifié sa « relation avec la société », et pourrait avoir des effets négatifs sur les enfants.

« Je ne sais pas si j’ai vraiment compris les conséquences de ce que je disais, parce que les conséquences imprévues d’un réseau, lorsqu’il atteint un milliard ou deux milliards de personnes, est… qu’il change littéralement votre relation avec la société, les uns avec les autres… Il interfère probablement avec la productivité de diverses façons étranges. Dieu seul sait ce que ça fait au cerveau de nos enfants. »

L’application, a expliqué Parker, joue sur les besoins psychologiques de l’être humain, en exploitant efficacement une boucle de rétroaction à chaque fois que le contenu d’une personne reçoit des coups de cœur, des échanges ou des commentaires, en l’encourageant à utiliser l’application plus fréquemment.

« Et cela signifie qu’il faut en quelque sorte vous donner un peu de dopamine de temps en temps, quand quelqu’un a aimé ou commenté une de vos photos, publications ou autres. Et cela va vous amener à contribuer et à faire plus de contenu, et cela va vous faire… plus de j’aimes et de commentaires. »

« C’est une boucle de rétroaction de validation sociale… exactement le genre de chose qu’un hacker comme moi trouverait, parce que vous exploitez une vulnérabilité de la psychologie humaine. »

Alors que les développeurs et les créateurs de Facebook, y compris Mark Zuckerberg, le PDG de la société, étaient conscients du potentiel du site Web à contrôler essentiellement l’esprit, Parker affirme qu’ils n’ont rien fait pour le changer.

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