Tsante

La santé pour tous !

La vie de couple est parsemée d’embûches, et parfois les obstacles mettent un terme à la relation. Et ce motif sous-estimé est celui qui provoque le plus de ruptures. Entretenir la flamme dans son couple n’est pas un exercice facile. Chacun doit faire des efforts pour que la relation fonctionne. 

 Certaines personnes y arrivent avec brio, d’autres un peu moins. Comme vous le savez, le respect, la  communication, ainsi que la confiance mutuelle sont les clés qui permettent de bâtir une relation saine. Mais certaines histoires prennent fin pour une raison qui ne manquera pas de vous étonner. 

 «C’est un vecteur de malaise» Contrairement aux idées reçues, l’infidélité n’est pas le principal motif de rupture. En effet, la première place est occupée par les…«non-dits» ! C’est en tout cas ce qu’affirme Genièvre Masse, stagiaire thérapeute en relation d’aide. «On généralise souvent en parlant du manque de communication dans un couple, mais ce que cela cache vraiment, ce sont les non-dits. C’est l’ennemi numéro 1 dans une relation», explique la spécialiste au magazine Grazia.

Avant d’ajouter : «C’est d’ailleurs souvent le tronc d’une infidélité - dans la majorité des cas - cela devient intéressant d’aller voir ailleurs parce que c’est lié à une insatisfaction et donc à un ou plusieurs non-dits». Toujours selon ses dires, ce manque cruel de communication (le fait de cacher ce que l’on ressent) génère des conflits au sein du couple : «C’est un vecteur de malaise - ça génère un manque de confiance et touche deux victimes, ce qui entraîne par la suite un imaginaire destructeur, qui nous pousse à nous faire des films».

Pour pallier ce problème, Geneviève Masse recommande aux personnes concernées de se tourner vers la communication et ne pas hésiter à poser des questions pour montrer son implication.

Enfin, elle conseille également de faire appel à un(e) thérapeute de couple : «On sous-estime l’aide d’une tierce personne, mais elle travaille avec neutralité et apprend aux deux partenaires à communiquer. Et cela permet de contrôler les écarts d’émotion. C’est une prise en charge et c’est extrêmement aidant et libérateur».

Scroll to top